Quête de sens
et de complétude

Nous sommes tous traversés de questions, voire de crises existentielles : quelque chose semble ne pas voir été réalisé, une envie de se réinventer émerge. On peut alors être tenté de changer de direction ou de tout envoyer promener.
À l’institut Aristote, nous proposons une autre voie : explorer ces parties de nous négligées ou abandonnées, écouter si elles font sens et nous mettent en énergie, car c’est dans l’expression de tous nos talents – que nous appelons « polyphonie » – que réside la complétude. « Mieux vaut être complet que parfait », disait CG Jung.

Ne passons pas à côté de nos besoins et aspirations
Les thérapies, le développement personnel, la philosophie, nous invitent à nous connaitre et exprimer, déployer certaines qualités.
C’est oublier que nos talents ne peuvent s’exprimer que si nos besoins sont nourris, pour rester en énergie (besoins physiologiques, d’estime, d’appartenance, etc). Précisons aussi que nos talents ne peuvent s’exprimer pleinement que s’ils sont connectés à nos aspirations profondes, à nos valeurs, à ce qui fait sens.

Un besoin d’atterrissage
On formalise rarement à quoi servira un travail personnel, comment lui permettre de se déployer concrètement. L’originalité de la méthode Aristote consiste à proposer un travail concret sur le rêve puis la construction d’un futur possible, des objectifs et même, osons le mot – un plan d’action!

Une exigence d’engagement et d’assiduité
Dans la plupart des approches et travaux de groupe, le travail se fait in situ…et parfois vite oublié.
Dans le processus Aristote il y a du « travail à la maison » : une vingtaine d’heures de réflexion, écriture, exercices que la personne devra faire pour intégrer pleinement les étapes de la méthode dans son corps, dans sa chair plutôt que, plus volatilement, dans sa tête.

Hommage à la logothérapie
Source d’inspiration du parcours, la logothérapie affirme que chacun est capable et libre de se construire une existence plus juste, adaptée à sa personnalité, à ses valeurs, ses besoins, mais aussi à se limites, ses contraintes. Son fondateur Victor Frankl aime à nous rappeler que notre quête d’accomplissement ne peut trouver sa satisfaction que mise en acte dans la « réalisation d’une mission librement choisie et porteuse de sens ».